À l’aube du néant, là où commence la fin, je te contemplerai, toi l’étoile.
Murmure brillant. Beauté muette..
Pourquoi la vie ne serait-elle qu’organique? Toi l’étoile, ma vitale…
Mon mur criant. Ton amorphe silhouette..
À l’aube du néant, là où commence la fin, je te contemplerai, toi l’étoile.
Murmure brillant. Beauté muette..
Pourquoi la vie ne serait-elle qu’organique? Toi l’étoile, ma vitale…
Mon mur criant. Ton amorphe silhouette..
Oh la joie oxymorique de te lire sur du Jóhann Jóhannson…
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Concisément plus pondéré qu’un passé incident…
Je reste coi face à tant de mystère accointant !
Bien à toi
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